Logiciel libre

« Le principe du logiciel libre enregistre à sa manière le caractère fortement coopératif du travail intellectuel qui s’y trouve cristallisé. Le monopole privé du propriétaire y est contesté non plus, comme chez les libéraux, au nom de la vertu innovante de la concurrence, mais comme entrave à la libre coopération. Il est intéressant de noter que, par l’ambivalence du terme anglais free appliqué au logiciel, liberté rime avec gratuité », p. 71-72.

« En matière de propriété, ce paradoxe n’est-il pas la règle ? C’est du moins ce que cherchait déjà à démontrer Proudhon », p. 64.

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