« Face au creusement des inégalités et à la montée des exclusions, un nouveau partage des richesses devient une urgence sociale. Il ne s’agit pas simplement de les répartir plus équitablement. La question est indissociablement liée à celle de la propriété. Paradoxalement, alors que la privatisation bat son plein et que sa concentration atteint un degré inégalé, apparaît l’idée étrange selon laquelle la question de la propriété relèverait désormais de la préhistoire du mouvement ouvrier », p. 81.