Pensant à Guy, me revient obstinément en mémoire l’image bouleversante et dérisoire d’un passage à Apostrophes, où il figurait en compagnie de Bernard Tapie et de Laurent Dispot, le premier gagneur et tapageur, le second agressif et amer. L’un conquérant satisfait, l’autre saturé de ressentiment : deux retombées négatives de « l’esprit de Mai ». […]