
Le deuxième volume des mémoires de Jean-Marc Rouillan est très justement sous-titré : Le Deuil de l’innocence : un jour de septembre à Barcelone. Il est construit comme une remémoration organisée, à la manière d’une tragédie classique ou d’un rituel de corrida (le thème de la corrida revient de façon lancinante en contrepoint du récit), […]