
[…] « Tout ce qui était stable et solide part en fumée. Tout ce qui était sacré est profané, et les hommes sont forcés enfin d’envisager leurs conditions d’existence et leurs rapports réciproques avec des yeux désabusés », écrivait Marx dans le Manifeste. De sacrée, l’histoire devint profane. La politique aussi. L’une ne va jamais […]